Les larmes de Marie

Consolation
Les larmes de Marie sont bleues
Comme la mer
Elles coulent sur le sol sableu
profond amer
Elles vont faire le tour de la terre
Courir et puis se taire
avec les heures de la nuit
Que s'évapore l'ennui

demain la joie sur son visage
sera la prière du sage
Les larmes de Marie
non, jamais ne tarie
dans les yeux d'une femme
de ceux des filles et mon âme

Les larmes de Marie font la prière
Sur les  lèvres  sincère
Ô bergers et bergères
Inspirez vous de  lumière


La Mère-Divine






Guérir
Les larmes de Marie ô ma mère
Sont bleues par dessus la mer
elle trâce sur le noir de l'ardoise
des routes sereine en fond turquoise
Elles guérit à chaque seconde
tous les enfants du monde

Sérénité
les larmes de Marie sont bleues et amères
Comme le chagrin d'un coeur sincère
Les larmes de Marie sont amères comme la mer
elles jurent parbleu, toutes les mères
Par le saphir et l'or d'ophir
Qui consolera Rachel
Et ramener au ciel
Les enfants du soleil?
Laisser les vagues faire leur parcours
Que le vent fasse un détour
Et je l'aurai mon tour

Mariage
La jeunesse se marie
Au coeur de la sainte Marie
Blanc voile, blanc cierge
Ainsi marie-t-on les vierges
Que veut-on voler de mon âme?
Tout sauf la méchanceté d'une femme
Les larmes de Marie sont  pervenche
Dans l'âme qui veut avoir sa revanche
Comme les rancunes
Des filles de Lune
Les vierges se marient
Et les larmes de Marie
Ont le pouvoir
Du ciel du soir



Amour
Filles de Jerusalem, ainsi que le roi le veuille
rassurez vous que son coeur vous acceuille
Ne reveillez pas l'amour avant qu'on ne le veuille

Car les larmes de Marie sont amère
comme la mer
Docile sur l'eau tranquille
Sereine aux  yeux des reines
et vaguent dans les yeux des filles
ses larmes inclinent les palmes
Et les océans se font calme
Je pleure et Marie fait des larmes de pierres
Je pleure pour Marie car elle a tant de bleus
elle se cache loin de ses paupières
de l'amour ce n'est pas ce qu'il veut

Oh que  Marie a des bleus
elle fait tout ce qu'elle peut
Ses pleurs ont tant de  charme
Ses bleus sur la mer portent les larmes
de toutes les filles de Jerusalem
Afin de ramener l'amour qu'on aime

Oh mon amour c'est ainsi que le roi le veuille
dans l'aigue marine  se fond ton  l'orgueil
Je te veux c'est le jour que je cueille
L'amour je ne l'éveille pas tant que tu ne le veuille
C'est l'amour que j'éveille
car je  sais que tu m'aime et m'acueille



Détermination
je suis triste le feu l'eau l'air la terre
Sont en moi et connaissent ma peine
j'ai la joie mais la chance m'est austère
Alors le sort du hasard déchaîne

femme que voilà je suis femme
je le suis dans mon corps et mon âme
et forte je suis je serai forte
je leur montrerai que je m'en sorte


En attendant je peine
et ma peine ne se perd
Des lors par cette neuvaine
je trouverai ce que j'éspère
C'est à la  Vierge Marie
Que ma prière se dédie



Pour un homme
Homme que voilà je suis homme
Incarné tel un dieu des mythes de Rome
rien n'est trop grand ou trop peu pour l'espoir
comme un soleil je naîtrai dans le noir
et fort, je serai fort
je vaincrai dignement la mort
























Il n'y avait rien à changer dans cette poésie 
sauf les fautes de grammaire,
ses yeux  voient-ils, grand-mère.